« Ah ! Gringoire, qu’elle était jolie la petite chèvre de M. Séguin ! qu’elle était jolie avec ses yeux doux, sa barbiche de sous-officier, ses sabots noirs et luisants, ses cornes zébrées et ses longs poils blancs qui lui faisaient une houppelande ! C’était presque aussi charmant que le cabri d’Esméralda, tu te rappelles, Gringoire ? – et puis, docile, caressante, se laissant traire sans bouger, sans mettre son pied dans l’écuelle. Un amour de petite chèvre… »
Tout à fait la Blanchette décrite par Daudet mais en version naines, ces petites chèvres sont craquantes, drôles à observer: elles jouent tout le temps et boulottent tous les bourgeons et feuilles naissantes. Elles se laissent approcher et caresser.
Alors oui, je suis fondue…comme le beurre au soleil devant ces adorables petites bêtes si expressives.
Bon dimanche les créatifs!
2 Comments
craquante en effet ! tu devrais en mettre une dans ton jardin : ça fait une économie de tondeuse … et rien à faire …
bisous de Corse, l’ïle aux biquettes plus grandes !
j’y ai pensé figure_toi!;) mais Eric n’est pas d’accord!!